Grupo Uvesa participe à un projet qui vise à lever 100 millions d’euros auprès du fonds européen Next Generation

Encadré dans la stratégie européenne «De la ferme à la table» pour garantir une production alimentaire durable Grupo UVESA travaille, avec sept autres entreprises membres de Vitartis (Association de l’industrie alimentaire de Castille et León), à l’élaboration d’un PERTE (Projet stratégique pour la reprise et la transformation économique) pour le secteur agroalimentaire au niveau national , qui choisit d’obtenir un financement du programme Next Generation avec un investissement initial de plus de 100 millions d’euros.

Pour Raúl Gómez, PDG du Grupo UVESA, «l’implication dans ce type de projet doit être une priorité pour tous les acteurs du secteur agroalimentaire, en cohérence avec notre engagement en faveur du Pacte vert européen et pour la durabilité de notre propre industrie». Et il ajoute: « Une organisation comme l’UVESA, avec plus d’un demi-siècle de projection et de croissance soutenue, ne peut à aucun moment perdre de vue les besoins réels de la société dans laquelle elle opère ».

 

Avec cette alliance – et dans le cadre de la stratégie européenne De la ferme à la table: défis et opportunités du secteur agricole qui prône l’assurance d’une production alimentaire durable – est promue une initiative née avec la vocation d’intégrer toute la chaîne de valeur. Le projet est donc ouvert à d’autres entreprises et promeut la gestion de bonnes pratiques agricoles dans le domaine de la production primaire; réduire l’utilisation d’engrais et de pesticides et la dépendance à l’égard des matières premières pour aliments des animaux; la modulation de la dépendance externe par la régulation des centres logistiques; le développement de nouveaux produits à base de plantes pour promouvoir une alimentation saine; ainsi que l’augmentation de la production biologique.

En outre, il vise à accroître l’utilisation de protéines végétales issues de cultures européennes et de matières premières alternatives tant dans l’alimentation animale que pour l’aquaculture (algues, biomasse larvaire, sous-produits de la bioéconomie – déchets de poisson -, etc.) et l’expansion du produit offre à base de protéines végétales.